• Stress et émotions lors de la grossesse : ce qui passe par la mère affecte son enfant via le liquide amniotique, via l’imprégnation chimique via le cordon ombilical et via la communication énergétique et inconsciente.
• L’accouchement: même s’il a été le plus « facile et bien réalisé », il reste une étape marquante pour l’enfant et la mère. Le bébé subit les contractions répétées (donc une pression) et lui-même doit se frayer un passage jusqu’à la sortie (même si les structures sont censées être s’adapter et aider son passage, ce qui n’est pas toujours le cas). Ajouter à cela, les accouchements avec un travail long, l’utilisation d’instruments (forceps, ventouse), les accouchements rapides express pouvant aussi être vécu comme « violents », ou de possibles complications lors de l’accouchement (césarienne
• Baby blues post natal – Difficultés allaitement – Fatigue extrème de la mère: sont des causes pouvant provoquer une perturbation de la relation mère-enfant et pouvant perturbé l’enfant qui peut alors s’énerver et pleurer à son tour.
• Troubles digestifs causés par une intolérance aux protéines de vache ou lactose (le reflux au biberon est plus important) en mettant en tension le système digestif comme « une inflammation chronique ». Il ne faut pas oublier que la barrière intestinale n’est pas mature avant l’âge de 6 mois. NB : l’allaitement maternel empêche ce « trouble immunitaire », puisque les immunoglobulines de la maman passent par voie mammaire et se chargent de cette compatibilité en s’adaptant aux besoins biocellulaires de l’enfant.
• Mauvais positionnement au sein répété : donnant des tensions sur le crâne/cou/corps et des reflux plus importants, et du stress sur l’enfant qui aura tendance à s’impatienter.
• Troubles du sommeil : les parents ne respectant pas le rythme du bébé et le réveillent ou ne favorisent pas un sommeil serein dans de bonnes conditions (pièce au calme…). Ajoutez à cela que les troubles digestifs, tout comme chez l’adulte, perturbent aussi l’enfant le soir.

« Ses pleurs sont le reflet, le témoignage, le baromètre de son état interne ».

Une fois sorti de l’utérus réconfortant, votre bébé doit s’adapter à un nouvel environnement inconnu. Il pleure et s’agite lors des premiers jours/semaines : c’est son mode de communication, sa façon de montrer sa présence, de vous réclamer, et de montrer ses problèmes.

Lorsque ce comportement s’intensifie, il est souvent le signe d’un dysfonctionnement physiologique chez votre enfant. Votre nouveau-né n’a pas été conçu avec un « sale caractère » ou des « vices » expliquant ces pleurs renforcés, et le fait de ne pas savoir ni trouver quoi l’aider n’indique pas que vous êtes de mauvais parents.  La Science n’explique pas pourquoi certains bébés sont si sensibles après leur naissance, alors que d’autres sont plus calmes et sereins.

Même si votre enfant est en perpétuelles adaptations et acquisitions (physiologie, croissance et maturation de son anatomie, de son développement neurologique et psychomoteur, de sa psyche et de ses sens), son équilibre peut lui aussi être déstructuré.

Sans parler de pathologie,  en voulant réagir à ce dysfonctionnement, votre enfant mettra toute son énergie à réagir (et vous le confirmez malheureusement) pour se protéger et s’aider. Cette énergie va s’ajouter à ses zones de tensions initiales induisant un corps verrouillé à plusieurs endroits. L’ostéopathie, par son investigation globale du corps de votre enfant, est une solution naturelle qui diminuera ses pleurs excessifs et apaisera votre enfant.