L’Ostéopathie a été fondée par un médecin américain Andrew Taylor Still. En automne 1874, pendant une épidémie, il aurait guéri un enfant de la dysenterie puis dix-sept autres avec succès. Sa pratique reposait sur une manière reposant sur l’unité de l’être humaine, les connaissances anatomiques, les relations entre la structure et la fonction et les capacités du corps humain à s’auto-guérir. Ce fut les prémices de l’ostéopathie.
MES 20 CONSEILS POUR LE RGO DE VOTRE BEBE
juillet 13, 2019OSTEOPATHIE ET LES DOULEURS PELVI-PERINEALES : LA NEVRALGIE PUDENDALE MAIS PAS QUE …
août 24, 2019MES 20 CONSEILS POUR LE RGO DE VOTRE BEBE
juillet 13, 2019OSTEOPATHIE ET LES DOULEURS PELVI-PERINEALES : LA NEVRALGIE PUDENDALE MAIS PAS QUE …
août 24, 2019QU’EST-CE QUE L’OSTÉOPATHIE ?
OSTÉOPATHIE : UNE HISTOIRE PAS SI RÉCENTE QUE CELA
L'Ostéopathie en quelques chiffres :
48% des Français ont consulté sur les 5 dernières années
90% des Français sont favorables à l’intégration des ostéopathes dans les structures de santé
Les patients consultants le plus ont entre 25-35 ans
86% des Patients font confiance à leurs ostéopathes
85% des patients considèrent l’ostéopathie efficace et utile pour leurs santés
Pour qui ?
QUELS MOTIFS DE CONSULTATION ?
Et non, nous ne faisons pas que les maux de dos * :
- Traumatismes : post accident de la voie publique, coccyx, épaules, coup du lapin, entorse, tendinite…
- Troubles post-chirurgie et cicatrices;
- Troubles de la posture et de la mâchoire
- Système musculo-squelettique : lombalgie, sciatalgie, dorsalgie, costalgies, cervicalgie, torticolis, tendinite, douleurs articulaires…
- Système nerveux : névralgies cervico-brachiales, intercostales, pudendale, clunéales, faciales, d’Arnold, cruralgies, sciatiques…
- Système vasculaire : céphalée, migraines, acouphènes, hémorroïdes, jambes lourdes
- Système digestif : ballonnements, reflux, ballonnement, troubles hépatobiliaires, constipation, diarrhée, colique du nourrison, ptôse d’organes, digestion difficile…
- Système O.R.L. et pulmonaire : rhinites et sinusites chroniques, asthme…
- Système gynéco-urinaire : règles irrégulières et/ou douloureuses, douleurs lors des rapports sexuels, infertilité, névralgie pudendale, douleur vessie, incontinences, grossesse et post-partum…
- Système neuro-végétatif : pleurs inexpliqués bébé, états dépressifs, hypernervosité, anxiété, stress, troubles du sommeil, spasmophilie…
* Liste non exhaustive, tout diagnostic d’exclusion, comme une pathologie relevant d’une prise en charge médicale, aura été écarté.
DÉROULEMENT D'UNE SÉANCE OSTÉOPATHIQUE
1 : Le questionnement : lors de votre première consultation, nous établissons une fiche complète en vous interrogeant sur vos antécédents médicaux, votre mode de vie et votre motif de consultation. Ceci est importante afin de saisir la raison de l’apparition de votre problème et avoir des pistes de tests et de traitement par la suite.
2 : Les tests : via des tests ostéopathiques et notre connaissance approfondie de l’anatomie humaine, nous décelons les zones en restriction de mobilité et de tension, analysons votre posture et vos déséquilibres pouvant justifier la cause de votre problématique. Cela nous permet d’établir un plan d’action, et ce pas uniquement sur la zone de votre problème.
3 : Le traitement : par un traitement manuel en utilisant différentes techniques (allant du structurel, au fonctionnel, au tissulaire, au digestif…) nous redonnons un équilibre à votre corps. Chaque séance, chaque traitement est adapté au patient et à son problème.
4 : Fin de séance : vous devez avoir une idée sur le traitement effectué afin que nos conseils, adaptés à votre problématique, puissent continuer à vous aider à récupérer dans les jours suivants. Cela dans le but que notre traitement « tienne » dans le temps, et que votre problématique ne revienne pas une fois que vous allez vous exposer à nouveau aux mêmes contraintes.
TYPES DE TECHNIQUES OSTÉOPATHIQUES
- Techniques fonctionnelles : pour travailler les tissus (fascias, muscles, articulations, liquides, membranes…) afin de relâcher les tensions dessus et permettre l’autocorrection d’une lésion ostéopathique.
- Techniques structurelles : pour libérer en articulaire une dysfonction ostéopathique (exemple : une vertèbre). Souvent appréhendée comme douloureuse ou surprenante par le patient (par mauvaise presse), si elle est bien réalisée et dite auparavant au patient, celle-ci est « bien vécue » et ne provoque alors qu’un craquement souvent accompagné d’une sensation de relâchement/déblocage du corps par le patient.
- Techniques viscérales : redonnant le maximum de motilité et mobilité aux viscères (estomac, foie, côlons, intestins, vessie, utérus…).
- Techniques crâniennes : souvent non ressenties par le patient, ces techniques subtiles et précises permettent par de légers mouvements fins des doigts de votre ostéopathe de rétablir la mobilité des os du crâne, d’agir sur le mouvement respiratoire primaire crânien et les membranes crâniennes.
RÉFÉRENCES DE L'ARTICLE
- 4 mars 2002 (loi Kouchner), l’ostéopathie est officiellement reconnue en France : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000227015&idArticle=LEGIARTI000006697464
- 25 Mars 2007 Décrets encadrant l’ostéopathie : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000462001&dateTexte&categorieLien=id)
- 12 Décembre 2014 Décret encadrant la formation des ostéopathes : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000029894161&dateTexte=&categorieLien=id